Une fois de plus, Florus a fait vivre aux Flourensois une belle soirée en évoquant les fêtes dans le Lauragais et notamment celles du carnaval.
On le fêtait déjà dans la commune avant la 2e Guerre Mondiale, du 1er de l'an jusqu'à mi-mars, en organisant des bals tous les dimanches.
Cela se passait au café épicerie Ragou et au café près de la poste à Montauriol.
La soirée s'est déroulée en deux parties. Evelyne Fabre, voisine montrabéenne et folkloriste a retracé après de nombreuses recherches,
l'histoire et la signification de ces carnavals. Elle a notamment évoqué les fêtes de Saint-Cyprien à Toulouse, les carnavals d'Albi et de Limoux.
Mais une veillée flourensoise sans parler de ce qui se passait sur la commune ne serait pas digne de Florus.
Francis Colombies a quant à lui repris les expressions de deux flourensoises qu'il avait interviewées.
"On aimait bien faire la fête, les jeunes prenaient en main toute l'organisation. Ils n'avaient pas besoin de grand orchestre pour s'amuser et danser :
avec un accordéon et une clarinette, on passait de très bons moments ".
Le président Nestor Bonifas avait récupéré des photos historiques du comité des fêtes conservées par Henri Bertaud dont il avait fait un diaporama.
Pour la 2e partie de la soirée, le public, venu nombreux, est sorti derrière la salle des fêtes pour juger Monsieur Carnaval.
Les revendications ont alors été nombreuses dénoncant la vie chère, l'augmentation des impôts, de l'essence.
La vie était alors terminée pour monsieur Carnaval : en deux ou trois flambées, la tête est tombée et détonna avec les quelques pétards.
L'assistance s'est retrouvée ensuite à l'intérieur pour terminer la soirée en dégustant les oreillettes que l'équipe Florus avait préparé avec amour.
On le fêtait déjà dans la commune avant la 2e Guerre Mondiale, du 1er de l'an jusqu'à mi-mars, en organisant des bals tous les dimanches.
Cela se passait au café épicerie Ragou et au café près de la poste à Montauriol.
La soirée s'est déroulée en deux parties. Evelyne Fabre, voisine montrabéenne et folkloriste a retracé après de nombreuses recherches,
l'histoire et la signification de ces carnavals. Elle a notamment évoqué les fêtes de Saint-Cyprien à Toulouse, les carnavals d'Albi et de Limoux.
Mais une veillée flourensoise sans parler de ce qui se passait sur la commune ne serait pas digne de Florus.
Francis Colombies a quant à lui repris les expressions de deux flourensoises qu'il avait interviewées.
"On aimait bien faire la fête, les jeunes prenaient en main toute l'organisation. Ils n'avaient pas besoin de grand orchestre pour s'amuser et danser :
avec un accordéon et une clarinette, on passait de très bons moments ".
Le président Nestor Bonifas avait récupéré des photos historiques du comité des fêtes conservées par Henri Bertaud dont il avait fait un diaporama.
Pour la 2e partie de la soirée, le public, venu nombreux, est sorti derrière la salle des fêtes pour juger Monsieur Carnaval.
Les revendications ont alors été nombreuses dénoncant la vie chère, l'augmentation des impôts, de l'essence.
La vie était alors terminée pour monsieur Carnaval : en deux ou trois flambées, la tête est tombée et détonna avec les quelques pétards.
L'assistance s'est retrouvée ensuite à l'intérieur pour terminer la soirée en dégustant les oreillettes que l'équipe Florus avait préparé avec amour.